L'INVASION-IMMIGRATION : UN DANGER POUR L'AVENIR DE LA FRANCE

Publié le par leblogdegeorgesdillinger

Oui, l'immigration que notre pauvre France connaît, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, est une véritable invasion. Ce n'est pas l'invasion d'Attila et de ses guerriers après lesquels l'herbe, paraît-il, ne repoussait pas. C'est une invasion douce et subreptice comme la marée montante conquiert la grève offerte à ses progrès ; mais avec cette différence fondamentale que l'immigration ne connaît pas d'arrêt ni, a fortiori, de retour. Songeons donc à ces Africains miséreux. Pourquoi en vérité continuer à croupir et à végéter dans sa mechta, campée dans une aridité désolante, dans l'ombre des forêts équatoriales, dans le désert latéritique hérité de l'érosion des sols, dès lors qu'on connaît l'opulence européenne – ou celle qu'il en reste ? La connaissance de cette "richesse", complaisamment étalée sur l'écran de télévision, a de quoi donner des ailes : ce seront bientôt celles du quadrille réacteur que ces candidats à l'immigration sont allés emprunter à l'aéroport le plus proche.

Tout cela est charmant. Le phénomène enrichit la population par trop inféconde des Franco-Français, des Blancs en particulier, et diversifie au-delà de toute espérance la couleur de peau et des faciès des habitants de l'hexagone moderne.

Malheureusement, il s'avère – et il paraît que cela était imprévisible – que le départ de ces malheureux vers notre Eldorado – ou prétendu tel – n'a fait et ne fait que se confirmer, s'amplifier, s'aggraver. Et cela pose bien des problèmes. L'ampleur du phénomène est telle qu'il a déjà abouti à une véritable hétérogénéité de notre population.

Cette dernière touche d'abord au sacré. Alors que les Français, blancs de peau, catholiques – de tradition au moins – ne représenteraient que 4 % de la population totale, nos sympathiques envahisseurs sont dans leur immense majorité musulmans. Et l'attachement à la foi musulmane n'est pas du tout, vraiment pas du tout une affaire demeurée cantonnée à l'intérieur de la personnalité. Même si chacun peut connaître un ou des musulmans sympathique(s), certes, il n'en reste pas moins que, depuis Mahomet, la religion de ce prophète a été et reste toujours une foi totalitaire, régissant les mœurs, les comportements et les modes de vie, individuel et sociétal. Ces particularités, ces singularités, diffèrent si profondément de ce qui a été pétri par la tradition chrétienne que la cohabitation s'en trouve rendue difficile.

Dans le domaine profane, ces allogènes, au fil du temps, ont pris de l'assurance. Ils en ont pris d'autant plus qu'ils n'ont trouvé face à eux des indigènes, le plus souvent nous, indifférents – ou se forçant à l'être –, recroquevillés dans leur égoïsme et ne voulant pas voir. En particulier, ils n'ont pas voulu voir que dans une multitude de cas ces hommes n'étaient pas animés par la volonté de s'intégrer – et, a fortiori, de s'assimiler – à la population franco-française au sein de laquelle ils sont venus s'installer. Souvent, ils vivent regroupés dans des zones citadines où ils constituent des communautés. Il est certain, hélas, qu'ils ne sont pas tous habités par l'ardeur de trouver du travail ; même si, reconnaissons-le, ils assument, dans bien des cas, des emplois ou des besognes dont peu de Français se contentent. Au fil du temps, cette situation ne saurait s'améliorer, puisque l'on imagine mal un sous-chien cherchant à pénétrer dans ces groupes soudés par une ethnie commune, bien souvent au moins. Se regroupant naturellement dans des "quartiers" (sic), la cohabitation avec les sous-chiens s'avère rapidement si difficile, voire si dangereuse pour les jeunes femmes et les adolescentes, que nos compatriotes n'ont bientôt d'autre ressource que de s'enfuir. Comme on a dit, ils sont chez eux chez nous. Pour être vrai, il faut ajouter que nous ne sommes plus chez nous en France dans bien des zones françaises, qui deviennent des zones "de non-droit". Géographiquement, ces zones font toujours partie de notre hexagone. Mais sur un plan sociétal, elles sont devenues l'étranger, même si par des naturalisations démesurées et le droit du sol substitué au droit du sang, des multitudes sont devenues des Français, au moins de papier.

Concrètement, si ces populations immigrées sont venues en France préférentiellement, ce n'est pas pour la beauté des paysages de notre terroir. C'est parce que l'on sait probablement dans toute l'Afrique que la France est infiniment généreuse, même, hélas, jusque au-dessus de ses moyens. Dès leur arrivée, ils sont pris en main par des compatriotes et/ou des coreligionnaires afin de bénéficier le plus tôt possible de tout un système allocataire qui contribue à la ruine de notre économie tout en constituant un véritable aimant à l'égard des candidats africains à l'émigration. Ce sont donc des allocations de toutes sortes, la CMU, l'AME, des prises en charge plus ou moins totales dans nos hôpitaux parmi les meilleurs du monde, etc. Le plus étrange – et le plus inattendu pour les jobards –, c'est que cela n'aura pas suffi. Je crois même que notre accueil, notre générosité, notre mansuétude les a fait nous mépriser. Ignorant totalement la tradition chrétienne – dont des restes flottent plus ou moins dans nos esprits –, ils ont alors pensé que si nous agissions ainsi à leur égard, ce n'était que par la peur. Eh bien alors, pour en avoir plus, il fallait en faire plus, susciter et renforcer cette peur.

L'atavisme bédouin – et ses razzias –, et jusqu'à certains points l'atavisme noir – et ses luttes tribales –, sont restés des ferments actifs, toujours prêts à se réenflammer. Et alors, d'année en année, se perpétue cette violence, cette montée de violence, qui affecte des multitudes de sous-chiens et les pousse souvent à la fuite. Ce sont des agressions individuelles ou collectives, des viols, ces infâmes tournantes, le vol des voitures, le saccage d'appartements et de maisons, le désespoir installé au cœur de tant de nos compatriotes.

Mais, dira-t-on, nous avons des forces de l'ordre, des polices, municipales ou territoriales, une gendarmerie, voire si nécessaire une armée. Il est vrai que ces policiers sont profondément estimables et payent tous les jours de leur personne. Mais observons deux faits d'importance majeure. L'intervention de nos forces de l'ordre se limite toujours à contenir le désordre : celui-ci par contre pourra se rallumer dès que nos forces auront tourné les talons. N'est-il pas stupéfiant de lire après des émeutes particulièrement meurtrières : une ou deux personnes ont été arrêtées, libérées le matin suivant ! Pourquoi dans ces conditions se priver de continuer la fête ? Dans certaines de ces zones, non seulement les policiers, mais les pompiers, les ambulances, ne peuvent plus pénétrer qu'avec l'accord d'un "caïd", le plus voyou des voyous qui occupent et régentent la zone. Et si les efforts des policiers dans un tel contexte sont estimables, il n'en est pas de même d'un certain nombre de magistrats plus préoccupés, semble-t-il, de comprendre le mal que de le réprimer et le réduire, ce qui correspond sur le plan sociétal à la mission première et essentielle de toute magistrature. Cette réaction – ou plutôt cette absence de réaction – face à la démesure et aux méfaits de cette immigration incontrôlée s'inscrit dans un cadre beaucoup plus large et par conséquent plus préoccupant encore. Car, de plus en plus gravement au fil des années, il apparaît que la morale – fondement spirituel d'une société civilisée – est atteinte sinon totalement dévaluée sous la conjonction de lobbies hyperactifs et d'un état lâche et complaisant. La famille, cellule fondamentale de toute société, est mise en pièce au profit de compagnonnages plus ou moins éphémères, l'école forme insuffisamment aussi bien les élites dont nous avons besoin que la raison des enfants dont doit être doté tout homo sapiens. Dans la mesure où tous nos fondements sociétaux sont atteints, blessés, alors nous allons en être réduits à attendre un miracle. Et le peuple de France de ce XXIe siècle a-t-il mérité un miracle ?

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